Le Quotient Intellectuel (Q.I.) est une invention français, qui l’eu cru ?
Cette notion est arrivée au XXe siècle après la réforme sur l’école qui l’a rendu obligatoire. Le test du Q.I. avait pour but de repérer les petits génies de la classe.
Cette découverte est signée du psychologue Alfred Binet et de son compère Théodore Simon.
Après un siècle, ces tests ont beaucoup évolué et ont beaucoup voyagé. Pratiqués par tous, ils sont devenus incontournables dans notre société, au point de permettre à certains de gonfler leur ego.
Face à cette injustice du nombre qui qualifie notre intelligence à l’emporte-pièce, des solutions alternatives sont apparues pour expliquer l’intelligence.
Pour faire simple, le facteur g (= QI) est un nombre fixe qui serait prédéfini à notre naissance. En gros, tu es intelligent ou tu ne l’es pas. Ce nombre ne pourrait ni être modifié avec l’apprentissage ni avec l’expérience. L’intelligence serait donc un talent que certaines personnes auraient comme privilège de posséder.
Cruelle comme vision, n’est-ce pas ?
D’autant plus qu’un certain Albert Einstein aurait (d’après National Geographic) échoué à l’un de ces tests. Il ne s’est pas arrêté à ça car en 1921, il a obtenu le prix Nobel de physique. Serait-ce l‘exception qui confirme la règle ?